J’espère pour vous que vous n’avez jamais eu affaire à ce fameux syndrome d’épuisement professionnel. Personnellement j’y ai toujours échappé, mais j’ai deux bonnes amies qui ont dû se mettre en arrêt maladie parce qu’elles n’arrivaient même plus à travailler ! C’est pour ça que j’ai décidé de vous en parler aujourd’hui. J’ai envie de préserver mes lectrices et lecteurs adorés de ce fléau qu’est le burn out ! Alors voyons ensemble tout ce qu’il faut faire pour éviter de partir en fumée.
Ce mal touche tout le monde !
D’abord, je vous le dis parce que moi-même j’étais un peu confuse au début, mais le burn out n’a absolument rien à voir avec les problèmes personnels ! Parce qu’il se trouve qu’une de mes amies venait de se séparer, alors j’ai cru que ça venait de là. En vérité, pas du tout ! Elle m’a expliqué ce que le médecin lui a dit : le syndrome est dû à 100% à ce qui se passe dans le milieu professionnel.
Et les personnes les plus touchées sont les artisans, les commerçants, les chefs d’entreprise, les commerçants, les cadres. Comme quoi, il ne suffit pas de gagner beaucoup d’argent pour être heureux ! Alors s’il vous plaît mes petits cœurs, faites-vous tester en cliquant ici, comme ça vous saurez si vous courez ou non le risque de péter les plombs !
Des indices pour identifier le burn out
Déjà, sachez que vous aurez plus de chances d’être frappés par un syndrome d’épuisement professionnel si vous êtes une bête de travail que si vous n’en fichez pas une. Alors un conseil : on se calme, on se détend, on respire, car il n’y a pas que le boulot dans la vie !
Si vous vous sentez complètement vidés de votre énergie physique, que la seule idée de vous rendre au boulot vous colle des crampes d’estomac, que tout ce qui environne le lieu de travail vous donne littéralement la nausée, que vous pleurez pendant la pause déjeuner… et si votre solution pour remédier à tous ces problèmes est de vous shooter aux amphétamines, vitamines, alcool et autres antidépresseurs, tout ça pendant les heures d’activité, alors faites-vous aider en urgence ! Car vous présentez toutes les caractéristiques d’une personne en bonne voie vers le burn out.
Je ne sais pas pourquoi on fonctionne comme ça, mais l’être humain a cette propension à ignorer ses problèmes jusqu’au point de non-retour. Il faut agir ! Arrêtez de mettre ces symptômes sur le compte d’un simple coup de mou, d’une petite déprime passagère, ou même d’une tendance à la dépression que vous tiendriez de votre arrière grand-tante. Souvenez-vous de cette vague de suicides chez France Telecom dans les années 2010. Le burn out est un sujet grave qui peut conduire à des dommages irréparables…
Des techniques pour s’en sortir
Le syndrome d’épuisement professionnel est sans doute le fléau le plus répandu qui soit de nos jours. Il est tout de même insensé de penser que le travail puisse nous consumer de l’intérieur d’une telle manière, comme on craquerait une allumette ! Ça fait peur, mais il existe une foultitude de moyens pour s’en sortir, et ils font souvent appel au simple bon sens :
- Prenez souvent des pauses
- Consultez un spécialiste de la souffrance au travail, ils sont très nombreux à être opérationnels en France
- Un arrêt maladie pourra vous sauver la vie : un médecin vous le prescrira généralement pour une durée de quelques mois ; une de mes amies a quant à elle été arrêtée pour un an, c’est dire !
- Sinon, quittez votre travail en négociant une rupture conventionnelle de bonne qualité. Mieux vaut passer quelques semaines ou quelques mois à chercher un nouveau travail que de subir une détresse infernale et potentiellement mortelle !
Et puis, sans en arrivez là, profitez de la vie ! Le burn out, 100% des personnes touchées le laissent derrière eux, au bureau, quand ils rentrent chez eux. L’essentiel est d’être entourés de gens qui vous aiment et de faire des activités, bouger, sortir, se refaire une santé, guérir de la semaine, vivre !