Conseils et astuces d'une working girl !

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Comment s’habiller lorsque l’on commence à son nouveau poste ?

Trouver le bon look quand on est une working girl est facile dans certains secteurs. S’habiller devient même un pur plaisir quand le poste en question n’exige pas de tenue professionnelle spécifique. Il suffit d’associer élégance, confort et praticité et le tour est joué. Mais qu’en est-il quand on est dans un milieu où la tenue de travail est codifiée ? Voici mes conseils pour vous habiller comme il faut lorsque l’on commence un nouveau poste.

Informez-vous, faites appel aux professionnels

Évitez les faux pas à votre nouveau poste en prenant du temps pour vous informer sur les tenues règlementaires ou les tenues à proscrire dans votre secteur d’activité. Vous savez certainement que  certains secteurs exigent un code vestimentaire particulier.

Les métiers de la cuisine, de l’esthétique, de la santé ou encore de l’hôtellerie sont par exemple parmi ceux qui exigent que chacun ait une tenue professionnelle spécifique. Certes, on a tous une idée de la tenue, mais ce n’est pas toujours évident de savoir exactement quels vêtements porter au premier jour de travail dans ces milieux.

Faites un tour sur des sites comme Mylookpro.com. Proposant des tenues complètes en fonction du poste, ce genre de site est géré par des professionnels qui maîtrisent les codes vestimentaires des différents métiers.  Ce genre de site est idéal pour s’inspirer, mais aussi pour trouver sur une seule plateforme tous les vêtements et accessoires dont on pourrait avoir besoin pour être habillé convenablement quand on commence à son nouveau poste.

Respectez les normes

S’habiller conformément au code d’apparence établi dans un secteur spécifique est une chose, respectez les normes des vêtements de travail en est une autre. En effet, si le code vestimentaire régit surtout la coupe ou la couleur des vêtements et accessoires, les normes concernent surtout la sécurité et elles respectent un protocole bien définies dans certains domaines.

Les normes strictes s’appliquent entre autres aux métiers relatifs à la santé et les métiers présentant des risques de blessure. Le choix de la tenue se fait donc en faveur de la sécurité du travailleur et des personnes avec lesquelles il est quotidiennement en contact. Ces normes strictes concernent également les métiers où l’on manipule des produits dans un environnement stérile et protégé.

Prenons par exemple la tenue de travail règlementaire d’une salle blanche. Les coupes, les matières et les moindres détails de ces vêtements stériles respectent un le protocole des salles propres. L’idée est en effet d’isoler complètement les intervenants et qu’ils ne dégagent aucune particule au sein de cet environnement stérile. En plus des vêtements, ce protocole concerne les différents accessoires :

  • Surchaussures/surbottes
  • Gants
  • Charlottes
  • Coiffes
  • Masques
  • Lunettes de protection

Pensez confort et allure

Vous l’aurez compris, trouvez la bonne tenue professionnelle dépend beaucoup du secteur d’activité et des normes et protocoles qui y sont en vigueur. Cela n’exclut évidemment pas le côté pratique et l’idéal est de trouver une tenue confortable, même dans un secteur où des codes vestimentaires précis sont de rigueur.

Ainsi, optez de préférence pour une tenue professionnelle à votre taille et dans laquelle vous êtes bien à l’aise pour réaliser toutes les tâches qui vous sont assignées. Et ne négligez pas l’allure si le code vestimentaire vous permet d’avoir une silhouette agréable. C’est toujours un petit plus, surtout si vous êtes en contact avec des collaborateurs, des clients ou autres.

Être habillé conformément aux codes vestimentaires du secteur d’activité en question est un réal atout quand on commence un nouveau poste. C’est en effet une preuve d’implication dans son nouveau travail. Et c’est tout simplement obligatoire dans certains domaines. Évidemment, il faudra conjuguer tenue professionnelle, normes de sécurité, confort et praticité. Et en plus de la bonne tenue, trouvez sur cette page quelques conseils pour un premier jour de travail réussi.

 

Mes astuces pour réussir sa communication événementielle à moindre coûts !

L’organisation d’un événement est une chose, la communication événementielle autour de votre entreprise ou de votre projet en est une autre. Pour véhiculer votre image sans trop dépenser et vous rappeler au bon souvenir des participants d’un salon ou du public d’un spectacle, vous devez penser à quelques astuces. Je vous en parle tout de suite.

Goodies et bracelets promotionnels

Certaines sociétés, telles que Bracelets-VIP, sont spécialisées dans la fabrication d’accessoires et de cadeaux promotionnels. En vous fournissant auprès d’elles, vous aurez le moyen de personnaliser vos commandes à l’effigie de votre entreprise ou de votre événement.

Dans le cadre d’une stratégie de communication événementielle, passer par ce biais permet de travailler votre image à petits prix. Une commande de bracelets n’est en effet pas très onéreuse, en comparaison des gains qu’elle permet d’obtenir à terme. Il en va de même concernant tous les accessoires de ce type : offrir des cadeaux à des prospects est l’un des meilleurs moyens de rester dans leur mémoire.

Le principe du bracelet, en lui-même, induit même une dimension d’appartenance dès lors qu’il est enfilé au poignet. En un seul coup d’œil, son propriétaire se souviendra des circonstances dans lesquelles il l’a obtenu, donc de vous et de votre entreprise.

Imprimés et relations presse

La base de la base de la communication événementielle consiste à distribuer des imprimés. Transmis de main à main, ils auront d’autant plus d’impact sur le client potentiel. La publicité glissée dans les boîtes aux lettres est d’ailleurs très appréciée des Français. Comme vous pourrez le constater en cliquant ici, plus des trois quarts lisent en moyenne un imprimé publicitaire par semaine.

Ce constat a priori étonnant peut s’expliquer de manière simple : en allant chercher son courrier, un lecteur choisit le moment et le lieu où il consulte la publicité. Elle ne lui est pas imposée, et c’est ce qui fait toute la différence avec la télévision par exemple. Et pour l’annonceur, cela ne coûte quasiment rien.

Mais une bonne stratégie de com’ passe également par le fait d’entrer en contact avec la presse. En communiquant aux journalistes des informations claires et détaillées relatives à votre événement, vous gagnerez en crédibilité aux yeux de votre public cible.

Toutefois, l’indépendance journalistique implique le risque d’être confronté aux critiques et aux avis négatifs… Vous devez donc être sûr de vous.

Internet et les réseaux sociaux, la communication événementielle 2.0

A l’ère digitale, il va sans dire que le web et les appareils mobiles constituent de formidables supports de communication événementielle. Les textos et les mails, messages courts et concis, ont l’avantage de ne rien coûter et d’entrer directement dans le vif du sujet. Vous toucherez un maximum de monde en un minimum de temps.

Dans le même esprit, les réseaux sociaux sont vos amis. Il est extrêmement facile d’inviter un grand nombre de participants potentiels à vos événements en passant par Facebook, par exemple. En disposant d’une page officielle et donc d’une communauté déjà active, il vous sera d’autant plus aisé de faire passer le message. Et de manière générale, n’hésitez pas à répandre l’empreinte de votre marque partout sur internet. Plus vous serez visible, mieux votre événement sera connu.

Il existe une complémentarité parfaite entre les réseaux sociaux et l’événementiel, comme on peut le voir à travers cet article. Qu’il s’agisse d’un cocktail, d’une convention ou tout simplement d’un salon, vous aurez ainsi l’opportunité d’établir une relation physique immédiate. Le passage du virtuel à l’irl est généralement créateur d’un lien social particulier entre les organisateurs et les participants, d’autant plus durable.

Et si vous deveniez boulangère ?

Vous êtes attirée par les métiers du pain ? Et si vous travailliez dedans ? Une profession qui, au-delà des apparences, n’est aucunement réservée aux hommes. L’une de mes amies a sauté le pas et s’épanouit à l’autre bout du monde dans un métier passion… qui ne connaît pas le chômage. Décryptage !

Artisanat : des métiers qui attirent aussi les femmes

Aujourd’hui, 23% des artisans sont des femmes. Bien plus présente dans ce secteur qu’il y a quelques années, elles atteignent désormais le nombre de 80.000. Et elles ne se contentent plus uniquement d’être présentes dans le domaine du service à la personne.

Elles portent désormais le tablier de bouchère, charcutière ou boulangère. L’amélioration des conditions de travail a fait que désormais, elles s’orientent davantage vers ces métiers. D’ailleurs, leur minutie, elle est particulièrement appréciée des employeurs !

Boulangère : aller au-delà des idées reçues

Ce poste ne veut pas simplement dire être la femme du boulanger ! Car nous aussi, nous pouvons exercer ce métier avec talent et passion. Certes, pour le moment, les femmes font plutôt figure d’exception.

Elles ne sont que 3% sur les 33.000 boulangers pâtissiers en France (source : Institut National de la Boulangerie Pâtisserie). Car grâce aux progrès techniques, la profession de boulanger est devenue moins fatigante.

De plus, qu’elles soient infirmières ou hôtesses de l’air, les femmes sont désormais plus nombreuses à travailler de nuit, le soir ou le week-end. D’ailleurs, à mon grand étonnement j’ai découvert que les boulangères sont bien plus nombreuses en Allemagne. Preuve que finalement, tout ceci n’est qu’une question de mentalité !

Un métier passion sans discrimination !

Fabriquer le pain est un métier noble, qui fait honneur aux traditions culinaires françaises. Porteur, le métier de boulangère vous permet d’exercer partout en France et même, aux quatre coins du monde. Mon amie d’enfance, Cléa, a choisi de faire ce métier. Aujourd’hui, elle fabrique pains au chocolat et baguette dans sa boulangerie haut de gamme à Rio, au Brésil. Et sa boutique à la française ne désemplit pas !

Ce qu’elle adore par-dessus tout ? Cette absence de routine et la possibilité de tester régulièrement de nouvelles recettes ! Et ce contact au plus proche avec ses clients est aussi une vraie bouffée d’oxygène ! Découvrez aussi l’histoire de Rose-Élise sur mapa-assurances.fr, qui après une licence en mathématiques décide de se lancer dans la confection de pains bio au levain !

Comment faire pour le devenir ?

Vous aussi souhaitez faire de la fabrication du pain de campagne, de la baguette et des croissants votre quotidien ? Sachez que vous pouvez vous orienter vers le métier de boulangère très tôt : avant 15 ans.

Ceci, en intégrant une classe d’initiation préprofessionnelle en alternance (CLIPA). A l’issue de cette année de formation, deux options : soit retourner au collège, soit intégrer une classe préparatoire à l’apprentissage (CPA), avant le CAP boulanger.

Ce diplôme se prépare en deux ans et se déroule essentiellement sur le terrain. Après le CAP, vous pouvez passer une mention supplémentaire si vous voulez perfectionner vos savoirs sur le pain ou les viennoiseries. Vous avez envie de monter votre propre boulangerie ?

Après le CAP, vous pouvez aussi vous orienter vers un BP (Brevet Professionnel). En deux ans, ce diplôme peut vous être très utile pour mieux gérer votre futur commerce ! Enfin, une fois adulte, vous pouvez vous former au métier de boulangerie grâce à une préparation intensive sur 4 mois et demi, avec l’Institut National de la Boulangerie Pâtisserie (INPB).

Et non, le métier de boulanger n’est en rien réservé aux hommes ! Créatif et varié il vous permet de vous épanouir dans un environnement résolument humain, au cœur du quotidien. Alors, choisissez de bousculer les idées reçues !

Combien de types de comptes rendus existent-t-il et quelles sont les différences ?

Généralement considéré comme un document contraignant à rédiger et fastidieux à lire, le compte rendu est un outil de communication interne très utile à chacune des entreprises. Si vous êtes chargé de la rédaction de ce document au sein de votre entreprise, en plus d’avoir un esprit de synthèse, il faut que vous sachiez quelle forme utiliser pour mieux informer vos collègues.

Les rôles de ce document

Il a pour principal objectif d’informer de manière fidèle et objective. Il consiste à témoigner et à garder une trace du passé, d’une conversation ou d’une réunion. Pour la rédaction d’un compte rendu, ne vous impliquez pas, restez neutre et contentez-vous de restituer les faits, de rapporter les paroles, etc.

Ce document est utilisé aussi bien pour relater un fait ou un événement comme une mission, un entretien, une visite, etc. que rendre compte d’une activité relative à votre secteur d’activité, à votre entreprise ou à votre service. Dans ces deux cas, vous êtes libre pour ce qui est de la construction et de la présentation de la note. Par contre, pour rapporter les propos d’une réunion, il y a une forme plus définie à suivre pour la rédaction.

En effet, le compte rendu de réunion doit faire suite à une prise de notes. Il vous faut ainsi formuler des phrases écrites à partir de ce que vous avez noté dans un contexte oral. Il s’agit d’un exercice ardu auquel il vous faut tout structurer afin de faciliter la démarche de rédaction de votre compte rendu.

Il est important de noter qu’il est aussi bien dédié à vos collègues présents qu’aux absents, tout en présentant l’avantage d’établir une synergie au sein de votre équipe. Lisez cet article pour en savoir plus. Selon la nature de votre réunion, le volume d’informations à transmettre et de la précision souhaitée, vous pouvez choisir entre les différents types de documents de synthèse.

Les différentes constructions de ce document de communication

De l’analytique au synoptique, en passant par la thématique, il se peut que les comptes rendus se présentent sous différentes formes. Si le contenu reste le même, la manière dont vous le construisez peut ajouter les éléments selon un classement net et clair.

  • Ainsi, une synthèse analytique a pour rôle de reprendre les débats en suivant un ordre chronologique. Dans ce contexte, vous devez alors mettre en l’opinion de chacun de vos collègues-participants à chacune de ses interventions. Ainsi, vous pourrez, selon les cas, soit retranscrire intégralement, soit synthétiser les propos individuels tenus ;
  • ensuite, il y a la forme synoptique qui est considérée comme un tableau à même d’établir à la fois une synthèse des décisions prises, des thématiques et des débats. Ce type de compte rendu offre en seulement trois à quatre colonnes, une vue d’ensemble de la situation tout en mettant en avant les décisions et les conclusions de chaque thème évoqué. Cliquez ici pour obtenir plus d’informations.

Surtout caractérisé par sa brièveté, il est de plus en plus utilisé au sein des entreprises en tant que préambule avant un document plus détaillé. Il s’agit ainsi d’une confirmation des points « clefs », cela peut être des dates, des personnes concernées, des actions, etc. avant la distribution de la version plus détaillée ;

  • enfin, il y a la forme thématique qui, comme son appellation le précise, est organisée par thème. Ainsi, les faits et les conséquences ayant un rapport avec le sujet traité sont mis en évidence. L’objectif de ce compte rendu en tant qu’outil de communication est d’offrir à chaque lecteur l’occasion de repérer les faits et de comprendre rapidement les points principaux des débats.

Découvrez les inscriptions scolaires personnalisées au Cours du Prieuré

Situé au cœur de la ville de Saint-Germain-en-Laye, le Cours du Prieuré est un établissement privé du secondaire, qui garantit un accompagnement constant dans l’apprentissage de l’élève. La discipline et la bienveillance sont deux valeurs fortes au sein de l’établissement.

Mais comment les familles vivent-elles cette expérience ? Les élèves apprécient-ils leur cadre d’études ? Les résultats sont-ils à la hauteur des promesses ? Je me suis rendue sur les lieux pour prendre en compte les avis des principaux intéressés : les enfants mais également les parents qui les y inscrivent.

Je rencontre les parents d’élèves

Lorsqu’on déambule dans les couloirs ou à la sortie, on comprend mieux les raisons qui poussent les familles à choisir le Cours du Prieuré :

Mme XXX mère de Lucie en classe de 1ère : « Concrètement on pourrait dire que le Cours du Prieuré s’adresse à des enfants « normaux » qui ont besoin d’être un peu plus accompagnés à un moment de leur vie pour se révéler. On sait comme la période de l’adolescence est critique. J’ai trois enfants. Avec les deux premiers, je n’ai eu aucun souci et puis avec ma dernière … Je voyais bien que ça n’allait pas dans son collège. Les notes dégringolaient et les amis qu’elle nous amenait à la maison…

Un jour, j’ai entendu parler du Prieuré. J’avoue que j’y suis allée avec des aprioris car ils sont hors contrat. On a décidé d’inscrire Lucie en court d’année. C’était en 3ème, non en 4ème… çà paraît tellement loin. Elle est aujourd’hui en 1ère S et tout va bien. Les premières épreuves du baccalauréat arrivent mais elle est confiante. Elle veut être chirurgien. Nous sommes ravis de notre décision. »

Jonathan, élève en classe de Terminale : « Je suis arrivé au Cours du Prieuré cette année. Ça change tout ! L’année dernière mes profs me disaient que je devrais être en voie pro ou faire une formation technique. C’est vrai que je ne travaillais pas, mais ils ne me donnaient juste pas envie. Depuis cette année je sais ce que je veux faire. Je suis en ES au Prieuré et je sais que si je bosse, j’aurai mon bac et après école de commerce… ».

Vœux 2017 de Mme XXX, maman de Amalia, élève en classe de 4ème (communiqués par la direction) : « Merci beaucoup ! Meilleurs vœux à toute l’équipe du Prieuré qui sait si bien rassurer ma fille, lui faire prendre confiance en elle et l’accompagner sur la voie du progrès. Le tout avec autorité et bienveillance…Avec toute ma reconnaissance et ma gratitude pour ce travail de professionnel ! Bien à vous Elisabeth XXX »

Un processus d’inscription en deux temps

Pour s’inscrire au Cours du Prieuré, les parents prennent directement rendez-vous avec la direction auprès du secrétariat. Pas de portes ouvertes, les parents peuvent visiter l’établissement « en situation » s’ils le souhaitent lors de l’entretien. « Faire visiter un établissement vide, cela n’a pas de sens. Nous sommes nos élèves et nous en sommes fiers ! » affirment Messieurs Viard et Huc, la direction de l’établissement.

Le premier rendez-vous se passe généralement sans l’enfant. « Les gens viennent souvent nous voir quand ils constatent que leur enfant a un souci. Ils ne connaissent pas forcément les causes du problème mais ils sentent que l’établissement dans lequel il est inscrit ne correspond plus à ce dont leur enfant a besoin. Ils recherchent une solution aux problèmes, mais nous, nous leur proposons des solutions en nous attachant aux sources mêmes du problème. En ce sens, nous réglons le problème aussi bien à la source tout en corrigeant les effets du problème. Pour que ce soit possible, il faut que l’on puisse échanger en confiance.

Nous recevons donc généralement d’abord les parents. Pour ce premier rendez-vous on demandera les derniers bulletins et souvent une bonne et une mauvaise copie de mathématiques et de français. Pour que ça fonctionne par la suite avec les enfants on devra déjà savoir échanger avec la famille. C’est un choix mutuel. On présente de façon transparente ce qu’on fait au Cours du Prieuré et on demande la même transparence aux parents quant à leur enfant.

Lorsque nous recevons les enfants cet échange est souvent déjà établi. Notre décision est déjà un peu prise et doit être confirmée. C’est l’objectif du second entretien. On commence tout de suite la remise en confiance en expliquant ce qu’on peut apporter à l’élève et en lui faisant reconnaître qu’il en est capable. » » explique M.Huc.

Ces deux temps, lorsqu’ils sont possibles, semblent donc vraiment nécessaires. Pour faciliter cette rencontre avec des parents qui travaillent souvent beaucoup tous les deux, la direction se rend disponible tard le soir ou même parfois le weekend. « C’est déjà une preuve de disponibilité, d’adaptabilité au besoin réel des familles et des enfants ! » nous dit Monsieur Viard. A l’issue de ces échanges, s’ils sont positifs, un dossier d’inscription est remis à la famille qui pourra alors réserver une place pour son enfant pour l’année suivante ou l’année en court.

En effet, lorsque la situation le permet, le Cours du Prieuré accueille parfois des élèves en court d’année scolaire. « Tout dépend de la motivation de changement de l’enfant. Changer d’établissement c’est la chance d’un nouveau départ. Il vaut parfois mieux intégrer une classe en court d’année plutôt que de perdre un an démotivé, quitte à redoubler pour commencer l’année suivante en aillant acquis les méthodes, le sérieux et la conviction qu’en faisant les efforts il y arrivera ».

Les inscriptions pour 2017/2018 ont déjà commencé. Si cet article fait écho à des questions que vous vous posez en tant que parents, allez jeter un œil sur ce site. Une découverte intéressante !

Le travail : comment être plus efficace ?

Je trouve qu’il est de plus en plus difficile d’avoir son attention focalisée sur le travail ou la tâche qu’on réalise. En effet, dès que je suis en train de faire une mission précise au boulot, je reçois un mail d’un client ou d’un collaborateur. Le simple fait de voir la notification me donne envie d’ouvrir ce mail, et là le mal est fait.

Je me stoppe alors dans ma tâche précédente, j’ouvre ce mail et je commence cette seconde tâche. Comment faire pour rester concentré(e) au travail ? Je vous donne tous mes conseils, et vous pouvez en découvrir d’autres via cet article. 

On commence par éliminer les distractions 2.0

Le premier conseil que je vous donne pour éviter d’être déconcentré(e) au travail est assez simple en théorie : il s’agit d’éliminer le plus de distractions, et en particulier les distractions digitales. En savoir plus sur la déconcentration par ici.

Quand je souhaite faire une tâche en étant pleinement investie de A à Z dedans, je commence par couper mon portable en le mettant en mode avion. Si jamais je dois recevoir une notification précise à un moment donné, si c’est un appel en particulier, j’évite de le mettre en mode avion et je me contente de désactiver toutes les notifications parasites à la main sur mon téléphone.

Comme cela, on peut tout de même me joindre, mais mon regard n’est pas sans cesse attiré par les petites notifications lumineuses sur l’écran. Une fois que j’ai achevé ma tâche, je reprends contact avec le digital : je consulte mes mails et là je suis pleinement disponible pour y répondre.

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Isolez-vous pour accomplir votre tâche

Si vous avez besoin de prendre du temps pour vous et pour le travail que vous devez accomplir, faites-le. En d’autres termes, isolez-vous si vous en ressentez le besoin. Personnellement, je commence par prévenir tous mes collègues que je ne serai pas disponible pour une certaine durée de temps, et que je ne souhaite pas être dérangée pendant cette période.

C’est la seule solution que j’ai trouvée pour pouvoir mener ma mission pleinement. Ensuite, je demande à mes collègues de prendre les messages pour moi si jamais quelqu’un souhaite me joindre pendant ce temps, ou alors je m’occupe de mettre mon téléphone sur répondeur. Vous verrez que c’est comme cela que le travail que vous devez absolument faire en temps et en heure sera accompli dans les meilleurs délais.

Eliminez la fonction « multitâches » de votre cerveau

J’imagine que ce conseil va vous faire sourire. Et pourtant, je pense que c’est la meilleure solution pour que le travail que vous souhaitez faire le soit, en temps et en heures. C’est donc pour cette raison que je vous conseille de vous focaliser sur une seule tâche à la fois.

Personnellement, je commence toujours par me munir d’une feuille, d’un crayon et de mon agenda électronique. C’est comme cela que je peux visualiser l’ensemble des tâches de travail à réaliser pour l’ensemble du mois, et que je peux prioriser celles qui sont les plus importantes à accomplir. Une fois que l’une des tâches est remplie, je passe à la suivante et ainsi de suite.

Faire une seule tâche à la fois permet d’être plus productif que d’en faire plusieurs en même temps, car on évite de s’éparpiller dans tous les sens. D’autres conseils efficaces en lisant cette page.

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Faites des pauses pour rester plus productif !

Les études sur le travail le prouvent : on ne peut pas rester productif 100% du temps. C’est justement pendant le temps de pause que notre cerveau se régénère, ce qui nous permet de rester productif. Aussi, un bon conseil faites une pause au bout d’une heure et trente minutes de travail intensif. Il suffit de souffler quelques minutes pour pouvoir repartir sur de bonnes bases et entamer une nouvelle tâche.

Comment demander une augmentation à son patron sans sourciller

L’autre jour, je recevais une amie chez moi. Elle était dans un état de panique vraiment avancé. Elle tremblait sur mon canapé tout en m’expliquant qu’elle s’apprêtait à demander une augmentation à son patron. Vu le travail acharné qu’elle avait mené ces derniers temps, c’était amplement mérité, et je ne voyais pas pourquoi elle redoutait tant ce rendez-vous !

Alors je me suis dit que ça ferait un bon sujet d’article à partager avec mes très chers lecteurs ! Je vais vous dire, moi, pourquoi vous n’avez rien à craindre et surtout, comment vous y prendre pour que tout se passe dans les meilleures dispositions possibles.

Businesswoman Crying Against File Cabinet

Acte I : Commençons par analyser le terrain

Le maître-mot quand on veut demander une augmentation : ne pas y aller à l’aveuglette. Ça pourrait se retourner contre vous, et c’est bien logique : si vous espérez une augmentation alors que vos résultats sont piètres, vous vous nourrissez d’illusions, mes pauvres ! Mais nous partirons du principe que vous méritez très largement cette petite augmentation de salaire, voire cette promotion (après tout, pourquoi pas ?).

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La politique salariale, un bon indicateur

La première chose à faire est de prendre connaissance de la politique salariale de votre entreprise. Celle-ci peut d’emblée vous donner quelques éléments de réponse quant au chiffre que vous ambitionnez : montant maximum, rémunération de vos collègues et autres informations vous permettront de vous situer dans cette structure et d’évaluer votre légitimité à demander une augmentation.

Dresser une liste pour s’autoévaluer

En effet, l’autoévaluation aura sur vous de nombreux effets positifs ! Tout d’abord, elle vous permettra de vous mettre vous-mêmes à la place de votre patron. Vous entreverrez mieux la manière dont il ou elle vous perçoit et, par conséquent, vous saurez quelles ficelles tirer pour orienter sa décision au moment de lui demander une augmentation. Vous trouverez également des exemples de lettres de demande en suivant ce lien.

Ensuite, elle vous permettra de vous donner confiance en vous. On ne se rend pas toujours compte des bénéfices que représente notre présence au sein d’une équipe, qu’il s’agisse de qualités relationnelles, de réactivité, de résultats probants ou autres. Faire le point sur ce que l’on pèse en termes de valeurs professionnelles nous amène donc à gagner en assurance. Or c’est là un état d’esprit essentiel lorsque l’on se retrouve face à la seule personne susceptible de nous donner ce que nous voulons !

Acte II : se préparer à demander une augmentation

Ça se répète !

Tout comme l’acteur établit une connexion entre lui et le public par le biais de sa gestuelle et de sa voix, la personne que vous êtes doit se préparer afin de faire bonne figure le jour de l’entretien. N’hésitez pas à répéter devant votre miroir, ou devant votre partenaire de vie. Celle-ci ou celui-ci vous taquinera peut-être mais c’est une méthode qui fera ses preuves ! Elle vous permettra de prendre la parole face au patron avec dix fois plus d’assurance que si vous formuliez votre demande pour la toute première fois, la voix balbutiante et le visage plein de tics nerveux.

Soigner votre patron

Quand on veut faire signer un contrat à un client, on le met dans de bonnes conditions. On l’invite au restaurant, on lui offre des choses. Le principe ici est un peu le même. Il ne s’agit pas de suggérer un rencard à votre chef ou de l’enivrer, comme le suggère la vidéo ci-dessous ! Mais vous pourriez par exemple planifier le rendez-vous à un moment où vous savez qu’il ou elle n’est pas très occupé(e). Ce genre d’attentions peut vraiment transformer l’essai.

Savoir ce que l’on veut

Car oui, il est bien beau de demander une augmentation, mais une augmentation de combien au juste ? La question peut paraître idiote, pourtant certaines personnes sont tellement préoccupées par le seul fait de faire leur demande, qu’elles en oublient les modalités !

Il serait dommage de passer à côté d’une prime en or massif parce que vous n’y aviez tout simplement pas pensé !

Outils de gestion de projet : bien les choisir pour gagner en efficacité

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais depuis quelques années, les outils de gestion de projet sont devenus indispensables à l’organisation des tâches et des campagnes au sein de l’entreprise.

Ce sont des outils polyvalents et bien utiles, et je me suis dit qu’il pouvait être intéressant de souligner dans un article quels sont pour moi les critères essentiels que doit remplir un logiciel de gestion. Vous pouvez consulter cette page pour obtenir plus de renseignements.

A quoi sert un logiciel de gestion ?

Les outils de gestion sont indispensables pour pouvoir organiser correctement les tâches, de façon claire et sur la durée, pour une équipe donnée. Ils vont vous permettre de partager des informations à différents niveaux, entre les membres du projet. Par exemple :

  • Calendriers
  • Liste des tâches
  • Partage de documents
  • Création de « wiki »
  • Visualisation du temps restant pour la réalisation du projet
  • Progression du projet, des objectifs atteints ou non
  • Alertes et notifications

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Le couteau suisse de la gestion de projets

Les outils de gestion de projet permettent la bonne mise en oeuvre des missions de l’entreprise. Plus concrètement, ils vont permettre le suivi et la coordination des travaux de groupe, et également intégrer des informations essentielles comme les coûts et les deadlines.

Tout d’abord, un bon logiciel de gestion doit permettre de découper les projets en étapes, de distribuer les tâches en fonction des membres de l’équipe, et de rassembler les informations selon une chronologie précise et modulable.

Lorsque vous faites le choix de vos outils de gestion de projet, prenez soin de vérifier qu’ils permettent :

  • La planification du projet selon des tâches
  • Identifier les besoins et les ressources matérielles et humaines
  • Gérer les retards sur les deadlines

Au final, le but d’un tel logiciel est de provoquer la collaboration à l’intérieur des groupes de travail.

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Comment maîtriser les coûts avec un tel outil ?

Au moment de choisir vos outils de gestion de projet, assurez-vous d’avoir la fonctionnalité nécessaire à la gestion financière. Ce logiciel doit vous permettre d’avoir une vision d’ensemble des coûts financiers de votre projet, et de chaque tâche.

Bien sûr, je vous conseille de réfléchir par vous-même aux surcoûts que votre projet peut engendrer. Il s’agit de penser par exemple aux dépenses « en plus » que vous allez faire. Cela peut être par exemple une formation aux outils logiciels ou encore de la logistique pour pouvoir respecter les délais. Pour apprendre à bien gérer son projet, c’est par ici.

Vers quels outils de gestion de projet se tourner ?

Il existe énormément de logiciels de gestion de projet, vous pouvez faire le test par vous-même de ceux qui s’adaptent le mieux à votre travail, mais je vous présente ma sélection de deux outils que je trouve indispensables :

  • Basecamp : pratique pour une petite équipe, avec des fonctionnalités simples (calendrier, échéancier, listes de tâches)
  • Planzone et Clarizen : sur le serveur de l’entreprise, ils proposent le partage de documents, la création de bases de données, de participer à des forums, des blogs…

Quand il y a grève des transports, on sort la roue de secours !

« Le trafic sera perturbé », « tous les trains sont à l’arrêt »… on les a toutes entendues ces annonces ! Chaque fois que les réseaux franciliens décident de faire la grève, c’est toute la population parisienne qui en pâtit. Imaginez un peu, une métropole entière paralysée par la grève des transports ! Hélas, ça nous arrive fréquemment. Et quand ça n’est pas la RATP ou la STIF, c’est la SNCF qui décide de bloquer la France entière, rien que ça ! À force de se retrouver dans ce genre de situation, on développe des astuces. Ça vous tente d’en connaître quelques-unes ?

Le Vélib’ ou l’Autolib’

Non, le Vélib’ n’est pas utile que dans les situations désespérées, quand vous rentrez pompette d’un dîner à 2h du matin et que tous les transports en commun sont fermés. Il peut aussi servir quand les transports en commun sont fermés… alors qu’ils ne devraient pas l’être ! Simple et non polluant, le Vélib’ a tout pour vous séduire !

Il existe depuis 2007 et il pullule aujourd’hui dans tout Paris et la petite couronne. On le retrouve aussi, sous d’autres dénominations plus ou moins similaires, dans toutes les grandes villes de France ! Lyon, Toulouse, Marseille, Bordeaux… pour la seule ville des lumières, ce ne sont pas moins de 17000 vélos qui sont à votre disposition dans quelques 1230 stations, alors en cas de grève des transports, je ne veux pas vous entendre dire que « j’ai eu beau chercher j’ai pas trouvé » !

En plus, ça ne coûte même pas très cher si vous comptez vous abonner. 29 euros par ans pour le Vélib’, 9 euros la demi-heure pour louer une Autolib’. Et mise à part les risques que vous encourez toujours à zigzaguer entre les voitures dans les rues de notre belle capitale, il y a peu de chances avec cette méthode pour que vous arriviez en retard où que ce soit le jour où il y a une grève des transports. Sans compter que ça fait faire du sport et que vous ressentirez moins la culpabilité d’avoir remplacé votre salade de quinoa par un bon hamburger frites ce jour-là.

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La marche à pieds

La marche à pied est le moyen de locomotion le plus ancien qui existe. Il paraît même qu’on l’aurait inventé avant la machine à vapeur ! Alors s’il existe encore aujourd’hui, c’est sans doute parce que c’est un système fiable, non ? Dans ce cas, le jour où survient une grève des transports, pourquoi ne vous rendriez-vous pas à votre travail à pieds ?

Je sais, il faut parfois marcher 2, 3, voire 4 heures pour se rendre sur son lieu de travail. Si vous êtes dans ce cas, oubliez ce que je viens de dire. Mais j’en connais quelques-uns (je ne désignerai personne) qui habitent à quelques stations de métro de chez elles et qui s’offrent quand même le métro au quotidien. Eh bien, voilà une bonne occasion de se bouger ! Hop !

En plus, Paris est l’une des villes les plus riches du monde en termes de patrimoine et de culture. Vous ne pourrez pas tourner à un angle de rue sans tomber sur une statue en hommage à quelque obscur souverain d’un temps révolu ou sans passer devant le portique de la maison d’un célèbre peintre, ou encore devant celle d’une star du cinéma. Profitez de la grève des transports pour explorer ce musée immense qu’est Paris !

Le covoiturage

Parfois, on vit en dehors de la ville et on a l’habitude de prendre le RER pour se rendre au travail. Il en va de même dans toutes les villes du monde, d’ailleurs ! C’est le système de la migration pendulaire. Avec l’affluence de citadins et la surabondance de logements occupés, sans parler des prix, on préfère délocaliser sa vie personnelle, et c’est un choix qui comporte de très nombreux avantages !

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Seulement voilà, quand une grève des transports a lieu (et on ne nous prévient pas toujours à l’avance), on se retrouve coupé du monde, comme Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène ! C’est pour cette raison que le covoiturage est un système révolutionnaire qui peut s’avérer salvateur !

On s’en sert pour voyager jusqu’à l’autre bout du monde, mais on peut tout aussi bien s’en servir pour voyager jusqu’à l’autre bout de la ville. En revanche, une grève des transports reste un problème pour tout le monde. Je ne vous garantis pas qu’il n’y ait pas d’embouteillages sur le périphérique, mais au moins vous aurez une solution pour ne pas rester chez vous !

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