Si au bureau ou dans un magasin, les petites poussières surtout pas très visibles ne sont pas des plus répréhensibles, les sphères liées à la santé ou à la haute technologie sont quant à elles moins tolérantes. Dans une salle de consultation, au laboratoire, dans un appareil électronique ou une installation technologique, la moindre salissure peut avoir des conséquences très néfastes. C’est dans cette veine que l’ultra-propreté est née. Comme l’indique son nom, ici, la propreté est décuplée et les contaminants sont traqués avec acharnement.
Quand et par qui l’ultra-propreté a-t-elle vu le jour ?
Concernant l’année de naissance et les précurseurs, il n’existe pas de données péremptoires. Soit, de sources concordantes, c’est au début des années 2000 que l’on a réellement commencé à entendre parler de ce concept. Depuis lors, il s’est répandu et affirmé. Désormais, il se révèle incontournable dans tous les domaines où les contaminants restent un ennemi à éliminer à tout prix.
De fait, l’ultra-propreté fait appel à la décontamination et à une stérilisation optimale. Et pour équiper une salle propre notamment, bien de structures ont recourt à des experts en la matière tels que Conformat.
Comment se matérialise alors l’ultra-propreté ?
Il est évident que dans le contexte d’une salle blanche ou propre, concepts nés dans la même lignée, l’usage d’une serpillère, d’un balai ou d’un aspirateur devient inapproprié et désuet. Ici, la notion de propreté exige un niveau de nettoyage et d’hygiène bien plus élevé et plus minutieux ; ces salles étant des espaces clos où le niveau de contamination est maîtrisé dans les plus larges proportions (plus de détails à ce sujet sur Gataka). Pour matérialiser l’ultra propreté, il faut donc décontaminer, stériliser, veiller à la qualité de l’air, faire appel à de l’expertise biologique.
En effet, les salissures visées dans ce type d’espace sont parfois minuscules ou récessives parce qu’elles proviennent entre autres choses de particules, de molécules. C’est pourquoi des systèmes technologiques ultras modernes sont usités pour une maîtrise efficace des particules en suspension atmosphérique ou pour un contrôle pointilleux de ces dernières lorsqu’elles sont introduites dans la salle blanche, produites ou retenues pour les besoins de la cause. C’est ainsi que prend tout son sens l’ultra-propreté.
Que dire des secteurs qui ont recours à l’ultra(propreté ?
Si le milieu médical et celui des TIC restent les secteurs les plus demandeurs, d’autres filières ou domaines d’activité sont concernés par les techniques ultras propres. Il s’agit des secteurs de pointe comme le nucléaire ou les installations spatiales, l’horlogerie ou encore de l’aéronautique. Dans d’autres domaines comme la mécanique de pointe, la peinture automobile, la biotechnologie, l’industrie agroalimentaire, les traitements de surface ou même tout ce qui est verrerie : l’ultra propreté est plus qu’utile.
Pourquoi l’utra-propreté est-elle indispensable dans le secteur médical ?
De l’avis de nombreux spécialistes, le milieu de la médecine et assimilé est celui où l’utilisation des méthodes ultramodernes de propreté est incontournable. La raison, ici, le risque est plus que grand pour le patient ou le malade de décupler son mal-être si les lieux qui l’accueillent ne sont pas aseptisés ou immunisés. Plus que tout autre sujet, il est vulnérable vis-à-vis des batteries ou tout autre virus et la moindre petite contamination quelque fut le microbe déclencheur, peut le faire basculer dans l’agonie.
L’ultra-propreté est notamment vitale dans les laboratoires, les salles aseptiques, les blocs opératoires ou les salles de réanimation, les services de prise, de stockage et de manipulation de sang, les zones de production, de conservation et même d’exploitation des produits pharmaceutiques. Autant de sphères très sensibles où la moindre négligence ou désinvolture peut s’avérer fatale pour un sujet malade. Lorsque des dispositions idoines ne sont pas prises, ce dernier peut facilement être pris à partie par tout type d’infection.
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